Martin est-il la véritable cible de Sungam dans Demain nous appartient ? Et si la police de Sète avait fait erreur depuis le début de l’enquête ? Réponse.
Attention, cet article contient de nombreux spoilers sur les prochains épisodes de Demain nous appartient. Si vous ne voulez rien savoir, ne lisez pas ce qui suit.
Voilà plusieurs jours que les fidèles de Demain nous appartient vivent au rythme d’une partie d’échecs grandeur nature. De quoi semer la terreur parmi les héros du feuilleton quotidien de TF1.
Alors que tout portait à croire que le mystérieux Sungam visait les membres du commissariat, il semble désormais certain que sa cible principale est le commandant Constant (Franck Monsigny), figure d’autorité du commissariat qui pourrait être assimilée au roi dans cette partie diabolique.
La police aurait-elle fait fausse route depuis le départ ?
Voir sur TF1+
Martin est-il réellement la cible de Sungam ?
Si Sara et Roxane étaient les pions, Lisa le fou et Raphaëlle la dame, Martin est en réalité la tour. Mais alors, qui est le roi dans cette partie ? Contre toute attente, la réponse est Georges (Mayel Elhajaoui).
Convaincu d’être la véritable cible de Sungam, Martin va confier la direction de l’enquête à Georges afin qu’il serve d’appât. Un choix qui s’avère être une grave erreur puisqu’en agissant ainsi, la police offre à Sungam exactement ce qu’il attendait.
À la fin de l’épisode diffusé ce soir sur TF1, les téléspectateurs verront ainsi Sungam écouter la conférence de presse du commandant Constant, où il annonce se retirer de l’enquête. Dans l’ombre, Sungam se réjouit et lance : “On va enfin pouvoir commencer à jouer”. Il devient alors évident que Georges était sa cible depuis le début.
Selon les informations de News Actual, c’est dans l’épisode du 12 août 2024 que Timothée (Grégoire Champion) comprendra qu’ils se sont trompés et que Sungam les a manipulés en les poussant à roquer. Martin n’était donc pas sa cible, mais bien Georges.
Pourquoi Sungam en veut-il autant à Georges ? Réponse prochainement dans Demain nous appartient.